Cap Ver

La plupart des personnes savent seulement le Cap Ver par la fréquentation mornos (les chansons tristes) de Cesária Évora. Pour visiter sa patrie – une série d'îles volcaniques improbables environ 500 kms de la côte du Sénégal – doivent comprendre l'amalgame étrange, aigre-doux de rythmes africains Ouest et de mélodies portugaises tristes qui forment sa musique.

C'est l'océan non seulement ouvert qui sépare le Cap Ver du reste de l'Afrique Ouest. Les courants frais, par exemple, gardent des températures modérées et une aide de système politique et économique ferme soutiennent le plus haut niveau de vie de l'Afrique Ouest. La population, qui représentent des degrés variables d'héritage africain et portugais, semblera exubéramment chaude si vous volez dans directement de, disons, la Grande-Bretagne, mais d'une manière qui fait du bien clé-bas si vous arrivez de Lagos ou Dakar.

Pourtant la vie n'a jamais été facile ici. Pendant les siècles, l'isolement et la sécheresse cyclique se sont ensuivis dans la famine. Les générations de Cap on a forcé que Verdeans émigre, en quittant ceux à la maison ravagés par sodade – le grand désir profond qui remplit Cesária Évora’s la musique. Pendant que la faim n'est plus une menace, vous avez besoin seulement du coup d'oeil aux coteaux en terrasses cuisant au four au soleil pour comprendre que chaque haricot, chaque grain de grain, est précieux.

Bien que très petit dans la région, les îles contiennent une profusion remarquable de paysages, des appartements arides de Maio aux vallées verdoyantes de Fourmi Santo ã o. Et Fogo, un pic volcanique simple dont les pentes sont passées comme une flèche avec les fleuves de lave congelée. Les plages de Vue de Boa et de Sal attirent de plus en plus des foules de voyage organisé, mais un Cap Ver reste une destination pour le connaisseur – le randonneur intrépide, Windsurfer réactionnaire, le pêcheur pélagique, le fervent morno.